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1. Roman Photo (Bashung / Tardieu)
Guitare, Voix : Pascal Bouaziz
Batterie : Meïr Cohen
Guitare : Stan Cuesta
Basse : Olivier Féjoz
Guitare lead : Pierre-Yves Louis
Orgue, claviers: Charlie O.


Prévu pour « Seuls au sommet », et finalement écarté pour des raisons qui m’échappent à cet instant précis. Si j’ose supposer…Peut-être que l’on a dû tous voter sur les chansons à garder au final. Et qu’elle a perdu. Ou alors on a pensé qu’une seule reprise sur le disque était suffisante : « Seul au sommet » de Randy Newman a gagné.
Ou encore la citation de « Gaby » dans « Les petits frères des pauvres », plus la reprise, ça faisait trop « Fan » (Jeu de mots/citation, pour toi habile lecteur !)
Autant de suppositions…Autant d’incertitudes. Toujours est-il que…
Première chanson du premier album « Roman Photo » de Bashung. J’aime beaucoup la chanson originale. Grande réussite d’une sorte de tentative de Randy Newman à la française.
Second degré, bien sûr, et pourtant tellement touchante au premier degré aussi.
(Enfin il me semble bien à moi qu’elle est touchante. Pas impossible que notre version même me touche. Faut pas trop que j’y pense : je vais encore m’émouvoir moi-même.)
Si quelqu’un se pose encore la question…J’aime beaucoup Bashung.
Comme tout le monde.

2. Ali Farka Touré (Mendelson)
Guitare , Voix : Pascal Bouaziz
Batterie : Meïr Cohen
Basse : Olivier Féjoz
Claviers, percussions : Charlie O.


Paru dans la compilation des dix ans de Prohibited Records : ICI.
Un hommage chanté du vivant du maître ne saurait trop souffrir de la mort de celui-ci.
Ca fait quand même bien de la peine, c’était plaisant pour une fois d’avoir une idole pas morte.
Pour ceux qui ne connaissent pas ou qui n’aiment pas Ali Farka Touré (en gros, c’est la même chose) je ne saurais mieux faire que conseiller « The Source », à mon sens le plus beau et le plus riche de ses albums…« Dofana…20 kilomètres ».
Pour ceux (bis) qui auraient vu le film de Scorsese, sur le blues…Ne pas se fier à la drôle d’impression que laisse Ali, visiblement gêné et mal à l’aise pour une raison mystérieuse.(Mystérieuse si l’on fait abstraction du fait qu’il s’adresse alors à des Américains.)
Voir plutôt, « Le miel n’est jamais bon dans une seule bouche », documentaire plus riche, divers, émouvant, complet que les 10 minutes de voyage de Scorsese et de son bluesman.
Avec un très beau passage sur Affel Boccoum, le « dauphin » héritier du maître. Très grand chanteur-guitariste également qui a sorti un album passé relativement et injustement inaperçu il y a une poignée d’années de cela.
Et donc, la boucle est bouclée, Affel Boccoum, qui est régulièrement invité sur les disques de son mentor pour chanter : « Dofana…20 Kilomètres. »

3. Crosseyed & Painless (Talking Heads)
Saxophone, voix : Emmanuel Bacquet
Guitare, Voix : Pascal Bouaziz
Batterie : Meïr Cohen
Chœurs : Stan Cuesta
Basse : Olivier Féjoz
Guitare lead, Chœurs: Pierre-Yves Louis
Orgue: Charlie O.
Saxophone : Quentin Rollet


Traduction quasi littérale (ou presque) d’une partie de ce titre des Talking Heads extrait de "Remain In Light".
J’aime bien les solos au milieu.
J’aime bien la phrase : « La vie laisse des traces sur ton visage. »
J’aime beaucoup les Talking Heads.
Enregistré au départ pour une compilation de Lithium qui n’a jamais vu le jour en 2001.
2001. Lithium : 5 ans seulement, et j’ai l’impression de souvenirs d’une autre vie...

4. Souvenirs d’un groupe disparu (Mendelson)
Guitare : Pascal Bouaziz
Batterie : Meïr Cohen
Basse : Olivier Féjoz
Claviers: Charlie O.


Souvenirs d’un groupe disparu…D’autres gens, d’autres temps…

5. Le slow de la dernière plage (Mendelson)
Binson : Nicolas Becker
Guitare lead : Pascal Bouaziz
Batterie. : Meïr Cohen
Basse : Olivier Féjoz
Guitare : Pierre-Yves Louis
Claviers, Trompettes : Charlie O.
Binson : Nicolas Becker


Instrumental prévu au départ pour clore « Seuls au sommet », d’où son titre.
Finalement écarté pour des raisons…Des raisons….Des raisons.
Paraît que les gens n’aiment pas que les disques soient trop longs. Alors, on l’a sucrée.
Fin de saison.
67.
En Italie. A Ostia. Ou à Rimini.
Avant de remballer son matériel pour l’hiver. Le dernier groupe du dernier bal de l’hôtel de la plage joue un dernier morceau.
Personne ne danse.
D’ailleurs, il n’y plus personne.
Il y a un papier qui vole sur la promenade ensablée.
Une lettre oubliée… ? ( Un papier gras ? )
Un tract publicitaire : Pour un dentifrice épatant.
La petite fille de l’hôtel regarde la mer, se gratte une croûte sur le genou.
Remet son espadrille.
Allez, barre-toi maintenant. Y a ta mère qui t’appelle.

6. Avec mon frère (version studio 2001) (Mendelson)
Guitare, Voix : Pascal Bouaziz
Batterie. : Meïr Cohen
Basse : Olivier Féjoz
Guitare : Pierre-Yves Louis
Orgue, claviers: Charlie O.


Une version assez proche du Live 2001 qu’on peut trouver ICI. Et pour cause, cette version doit dater de la semaine d’avant ou d’après…Avec l’orgue en plus. Et puis…Je ne sais pas…Un petit quelque chose qui fait que disons que ce sera pour la postérité cette version là, LA version officielle, de cette chanson. (Que ceux qui la connaissent oublient par charité la version de 1997.)
1997 : 9 ans seulement, déjà…Et moi qui ai l’impression de souvenirs d’un autre siècle.